Salut les potes,
Vu comme vous faites péter les stats pour le moment, j'ai un peu chopé le melon et je vous dois des remerciances du show-business...
"Merci, vous n'avez jamais été aussi nombreux à vous connecter à mon blog. Genre on en a quelque chose à foutre...
C'est vraiment quelque chose qui me tient à coeur. Le fruit de tout un travail... On va chialer...
Et ce travail, il n'aurait jamais abouti sans l'aide du grand Vincent L. On s'en cogne, on l'connait pas !
Vous savez...c'est bizarre la vie...ça y est, c'est parti pour la grande chialade...y'a 6 mois, j'étais un parfait anonyme et aujourd'hui, on m'arrête dans la rue pour me dire que j'ai réussi à sauver des gens qui avaient des graves leucémies...
Et c'est pour ça que je fais tout ça...
Un jour, je lisais le blog de Loïc Lemeur et je me suis dit : "Un jour, moi aussi j'aurai mon blog...
...et je soignerai des leucémies !".
Aujourd'hui, les objectifs sont atteints... et je voudrais remercier la profession.
Merci pour votre confiance.
Y'a une rencontre qui m'a particulièrement marquée, c'est celle avec Annie Girardot. Elle m'a dépanné d'une clope, un soir où j'en avais grave envie.
Et là, j'ai rencontré une femme.
Une femme qui ne juge pas.
Une femme qui m'a regardé comme Gabi. Comme un être humain. Qui a fait abstraction de cet âge qui, entre nous tous, fait barrière.
Une barrière que l'on pourrait appeler "Jean-Claude"...
Une barrière, que je voudrais inexistante entre nous, chers lecteurs & lectrices.
Parce que si j'arrive à faire des discours aussi pourrave que ça, et que vous êtes assez blaireaux pour les lire jusque-là, c'est qu'il se passe vraiment un truc magique entre nous...
Voilà, j'en ai la confirmation : c'est vraiment de la grosse daube les discours...!
Allez, je me suis pris pour Sophie Marceau et Maurice Herzog, je vous laisse, je vais aller me laver les chicots. Ca commence à faire 4 jours...
La besse,
Gabi
P.D : Je suis content. Ce soir, j'ai bien foutu la merde au pictionnary...
Des bites en pagaille...!
Même pour illustrer le mot "amour" que j'aurais pu vulgairement symboliser avec un coeur !!!
Mais nan, trop facile. Je voulais voir comment réagirait la vioc.
Je crois qu'on était pas loin de l'infar...
Je tiens le bon bout !
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