Salut les potes,
Putain, il manquait plus que ça : je suis poursuivi par Patrick Bruel !!!
Je crois que j'aurais encore préféré m'faire dépuceler par Marianne James !
Et quand j'vous dis Patrick, c'est pas le Patrick philosophe (!), ou l'joueur de poker perrave...
Ni même le Patrick qui pourrait m'dresser le tableau de chasse de toutes les gonzesses qu'il a pu se mettre sur le bout...
Nan ! C'est le putain de Patrick chanteur !
Celui qui fait godiller la pisseuse décérébrée...
Et le pire, c'est que c'est toujours la même phrase qui me pète à la tête depuis le rêve chelou que j'ai fait cette nuit.
Là voici : (Attention, y'a d'la rime riche !) :
"On peut pas mettre dix ans sur table...
...comme on étale ses lettres au Scrabble !"
Cette PUTAIN DE PHRASE vient faire chier dans ma caboche toutes les 10 minutes depuis cette nuit !
Et j'peux vous dire que c'est bien pète-boules !!!
Pour les chanceux qui connaissent pas, ça donne ça !
dewplayer:http://www.fileden.com/files/2008/2/21/1773786/scrabble%20bruel.mp3&
Nan mais franchement, vous imaginez comment c'est chiant d'avoir Patrick Bruel dans sa tête et qui vient te répéter cette daube sans arrêt ?!?
J'ai vraiment envie de m'pendre !!!
Ce matin, en classe, à un moment j'ai pété les plombs.
En plein milieu du cours de lecture silencieuse, j'ai commencé à gueuler :
"Putain Patriiiiiiiiiiiiiiiiick, la grosse chaaaaaaaaaaaatte de ta mèèèèèèèèèèère !!!"
Bon, y'avait plus classe mais c'est l'premier truc qu'est sorti !
Evidemment, j'me suis fait gicler du cours, direction chez l'dirlo.
Va lui expliquer que j'ai Patrick dans ma tête...
J'me suis mangé 4 heures de colle samedi prochain...
Putain Patrick, j'te jure que tu vas m'le payer !...
D'ailleurs, si jamais y'en a parmi vous qui peuvent me donner des filons pour retrouver Patrick (adresse, lieux fréquentés...), j'vais t'lui envoyer mes potes moldaves...
On va voir s'il continue à faire son cake avec une teub' gravée au cutter sur la joue...
Désolé Patrick, mais t'aurais jamais dû l'écrire cette merde de chanson...
Tu vas payer, mon salaud...
Gabi !
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